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PORTFOLIOS SOHEIL SERBOUT 4B FRANCAIS


17/03/2020 - Texte 4 "Il n'y a point de M. Madeleine"

1. Javert viens chercher M. Madeleine pour l'arrêter mais Fantine pense qu'il vient pour l'arrêter elle.

2. Jean Valjean supplie Javert de lui laisser un peu de temps avant de l'emmener en prison pour qu'il puisse aller chercher l'enfant de Fantine, Causette, chez les Tenardiers.

5. Dans le texte, Javert est décris comme un policier héroique et Jean Valjean comme un bandit, un combattant contre la justice.

6a. Mots du champ lexical de peur: angoisse, Fantine eest terrorisée par Javert, qui voulait l'arrêter.

Osca Soheïl, benlèu pòdes mandar los exos sur la phrase complexe...

20/03/2020 - Lo combat de Carnaval e Caresma

1. Carnaval es vestit ricament, representa la festa. Caresma es vestit en religios, representa la lei e l'ordre.

2. La scena representada es la naicencia de Jesus. Se truffa perque remplaica Jesus per un jambon.

3. Se truffa perque renversa la lei, fa beure al rei de vin coma per lo traitar d'ivronha.

4. Caresma fa tindar la closca coma per anonciar la fin del combat perque Carnaval s'es endormit.

Oc, plan, te manca la dictée en Français...
L'ai fach sus papièr, as un mèl?

1)Mettez les verbes entre parenthèse au conditionnel présent:
­Si j'habitais en ville, je (vendre) vendrais ma voiture et je(prendre) prendrais les transports en commun.
­Nous (vouloir) voudrions savoir quand part notre train.­
S'ils avaient un garçon, ils l'(appeler) l'appelleraient Arnaud.­
Si j'étais riche, je (faire) ferais le tour du monde.­
Tu as pris du poids. Tu (devoir) devrais faire du sport.­
S'il avait le choix, il (préférer) préfèrerait partir en vacances.­
Si j'invitais vos parents, vous (venir) viendrez aussi?­
Si j'étais toi, j'(aller) j'irais plus souvent à la mer.­
(pouvoir) pourriez vous me prêter votre stylo?
­Si on allait en Alsace, on (pouvoir) pourrait faire de belles randonnées; on (boire) boirait de grands vins et on(voir) verrait de magnifiques vignobles.­
Nous (aimer) aimerions obtenir des renseignements sur les vols pour Madrid au départ de Bruxelles.
­(être) serait il possible d'être servi rapidement?
­S'il ne devait pas travailler, il (se lever) lèverait tard et
(regarder) regarderait la télévision toute la journée .­
Si ses parents savaient ce qu'il avait fait, ils en (mourir) mourraient .

2) Mettez les verbes entre parenthèses au conditionnel présent ou à l'imparfait­
Si je le voyais, je (pouvoir) pourrait le reconnaître.­
Si j'étais toi, j' (acheter) j'achèterais le nouveau CD de Sting.
Tu l'(apprécier) l'apprécierait beaucoup.
­(prendre) prendriez vous le train pour vous rendre dans le sud de la France ou (préférer) préfèreriez vous faire le trajet en voiture?
­S'il (venir) venait je partirais.­
Si je (connaître) connaissait son numéro, je l'appellerais.­
Si l'assassin (dire) disait la vérité, l'enquêteur bouclerait rapidement son enquête.­
Il recommencerait à travailler s'il n'(avoir) avait plus d'argent.­
(Vouloir) voulez vous me suivre?­
Si nous avions une voiture, nous (aller) irions à la mer tous les week­end et nous (être) serions très heureux.­
Si je savais bien écrire, je lui (envoyer) enverrais des lettres.­
S'il suivait des cours de karaté, il (savoir) saurait se défendre.­
Il (geler) gèlerait dans la maison, s'il n'y avait pas de chauffage.

Corrige et reporte ton nombre de fautes sur le plan de travail
Correction exos conditionnel

3) Imaginez un dialogue entre deux ami(e)s. L'un(e) des deux a un problème (au choix:il/elle aimerait sortir avec quelqu'un mais il/elle ne sait pas comment s'y prendre, le coq du voisin fait trop de bruit le matin et il/elle ne sait pas quoi faire pour mieux dormir, ...). L'autre lui donne des conseils (tu devrais ... /à ta place, je ... / tu pourrais /...).
15 à 20 lignes.

- Si j'étais toi, j'égorgerais le coq ou je l'empoisonneraits...
- Et si le voisin me voyait ? C'est interdit !
- Alors il faudrait endormir le voisin pour pouvoir tuer le coq...
- Et si sa femme me voyait ? Elle me tuerait !
- Alors il faudrait les endormir en même temps...
- Comment, tu voudrais que je mette des somnifères dans leur nourriture ?
- Non non je ne vois pas comment tu ferais de toute façon...
- Et donc ?
- Eh bien c'est simple: il faut attendre que le mari et sa femme soient sortis...
- Pour qu'ils sortent, il faudrait que le mari ne soit plus tétraplégique.
- Alors il faut y aller pendant la nuit... A ta place, j'irais pendant la nuit chez eux, je tueraits le coq et le matin je pourrais dormir autant que je voudrais...
- Ou alors je pourrais déménager loin d'ici...
- Ou bien il faudrait tout simplement leur demander de faire taire leur coq.
- On leur proposerait de le manger...
- Vous organiseriez une paella...
- Et on t'inviterait...

Dialogue truculent!! (cad: Haut en couleur, qui étonne et réjouit par ses excès.)


26/03/2020 Texte 5 - Cosette

1. Eponine et Azelma sont les deux filles des ténardiers. ☺

2. Peur, Terreur ☻il en reste beaucoup encore...
  • Ce passage montre bien la cruauté des Tenardiers car ils laissent Cosette toute seule la nuit dans le noir. en sachant très bien que cela la terrorise. ☺

3. Pour supporter la peur, Cosette ferme les yeux et compte très fort jusqu'à dix. Moi j'aurai sorti mon portable de ma poche pour faire de la lumière. :) Ah, c'est sur! Mais au XIXe siècle ce serait plus compliqué non?☺ - Une lampe à huile et un manteau ?


4. Quand l'oeuil ne voit que très peu, l'esprit devine des formes effrayantes par réflexe. Cette image évoque parfaitement la réaction du corps dans le noir. ☺☺

5. Elle l'appelle comme ça par ce que Cosette s'asseoit par terre comme les chiens. ☻ Est-ce normal selon toi?

Ok, tu pourrais dévellopper un peu plus non?

30/03/2020, EVAL Jean Valjean

1 . Quels sont les différents noms que prend J Valjean au cours des différents textes ? A votre avis pourquoi ?
Il est d'abord Jean Valjean, puis M. Madeleine pour ne pas qu'on ne le retrouve. ☺

2. Qui est Javert ?
Javert est un inspecteur de police qui est à la poursuite de Jean Valjean ☺

3. Quel lien unit Fantine et Cosette ?
Fantine est la Mère de causette. ☺

4. Par qui Cosette est-elle élevée ?
Elle est élevée par les Tenardiers. ☺

5. Comment qualifieriez-vous l’enfance de Cosette ? Justifiez votre réponse.
Cosette à eu un enfance très dure cas ses parents, ne la considérant pas comme leur propre enfant, la traitaient comme une bonne. ☺

6. Quand Jean Valjean rencontre Cosette dans la forêt, quel geste fait-il ?
Il la rencontre le soir, quand on l'envoie chercher toute seule de l'eau dans la nuit. Il l'aide à porter son seau. ☺

7. Quelle type de relation se noue entre Cosette et Jean Valjean ?
Une amitié se noue entre Jean Valjean et causette. ....

8. Que vole Jean Valjean à Monseigneur Myriel ?
Il lui vole l'argenterie de la chambre d'invités. ☺

9. Comment réagit Monseigneur Myriel lorsque Jean Valjean est ramené par des gendarmes ?
Il lui fait cadeau de l'argenterie et lui donne en plus des chendelier en argent aussi. ☺

10 . De qui les Thénardier sont-ils les parents?
Les ténardiers sont les parents d'Eponine et Azelma.☺

11 . Selon vous, pourquoi Victor Hugo a-t-il donné ce titre à son roman ?
Victor Hugo a appelé son livre "Les Misérables" car il y raconte en parallèle les histoires de miséreux (qui donne l'imprésion d'une grande pauvreté.)☺

Bien Soheil... Suite à un accident je ne peux pas corriger les fautes d’orthographe... Vert

Rédaction Utopie

Pour créer un monde Utopique, il aurait fallu prendre tout le bonheur et le concentrer dans un endroit ou le malheur n'existerait pas. Mais le malheur, serait forcément allé quelque part ou le bonheur, n'ayant pu se restreindre aux limites données, aurait fini par rejoindre. Car pour certains, l'Utopie, c'est l'espace, l'infini, - ce qui serait pour d'autres un danger. - Pour une grande partie, l'Utopie est une vie normale mais joyeuse, avec des jours heureux et des jours malheureux.
Créer l'utopie, pour certaines personnes, serait facile, pour d'autres plus difficile voir même impossible. Dans une ville Utopique, il faudrait seulement des personnes qui se ressemblent pour qu'elles puissent vivre sans disputes... Et encore une fois, la vie serait ennuyeuse.
Si on me proposais un jour de vivre dans une ville Utopique, je répondrais non, car le fait de ne plus avoir de problèmes serait un problème.
Le monde dans lequel nous vivons est inégal, injuste. Ce qui fait la différence avec un monde Utopique.

Ma ville Utopique ça serait une ville avec des cubes qu'on peut monter et démonter comme des legos. Il n'y aurait pas des miliers de règles, de systèmes partout...
D'accord intéressant comme point de vue. Merci pour ce devoir.

Le Roman Policier

Question 1​ : ​Quel est le cadre spatio-temporel de la scène ? (lieu de l’action, temps/heure)
- La scène se déroule à Paris, vers 23 heures à coté d'une bouche de métro. Très bien, et bonne réponse complète.

Question 2 ​: Que sait-on sur le personnage principal ?
- Le personnage principal est un sans abri qui, accompagné de son cadie, vend des éponges dans les rues de paris. ok

Question 3​ : Qui est Martin ?
- Martin est le nom que le personnage principal a donné à son caddie. TB

Question 4 ​: À quel milieu social semble appartenir la femme ? Justifiez en citant le texte.
- Elle doit être très riche car elle a un manteau "en fourrure blanche". "L'auteur dit aussi Certainement pas
une femme à entrer dans le pourcentage" Il doit entendre par là une personne qui ne s'intéresse pas aux clochards, qui ne les voit même pas... Bonne réponse

Question 5 ​: Interrogé ensuite par la police, l’homme refuse de témoigner : « Elle a fait le
tour de moi comme d’un tas de guenilles. Elle ne m’a même pas vu. Alors pourquoi je
l’aurais vue, moi ? Il n’y a pas de raison, donnant, donnant ».
a) Que veut-il dire ?
- Je pense qu'il veut dire que si la victime avait eu plus d'intention envers lui, il l'aurait peut-être aidé. + donnant, donnant, il ne donnera aucune information à part si le policier lui donne quelque chose en échange, montre de l'interêt ne l'ignore pas comme la dame.

b) Que feriez-vous à la place du policier chargé de l’enquête ?
- J'aiderais le sans abris pour qu'il sorte de la misère...

Voyage au bout de la nuit

Question 1 ​:
a) Quelle est la particularité de New York selon Bardamu ?
- Il dit que New York "c’est une ville debout", que contrairement au villes en Europe, celle ci s'étale en hauteur. TB

b) Citez une phrase du deuxième paragraphe qui pourrait être un slogan publicitaire en
hommage à New York.
- "New York, la ville debout". parfait !

Question 2 : Une fois débarqué (ligne 16 « En levant le nez vers toute cette
muraille », que pense Bardamu de Manhattan ? Justifiez en relevant au moins
un champ lexical.
- Il dit que Manhattan est telle une "muraille", pour lui, c'est "écœurant" de voir "des fenêtres trop nombreuses" Champ lexical du dégoût, champ lexical péjoratif

Question 3 :
a) De quelle manière décrit-il les habitants ?
- Bardamu raconte que les rues étaient peuplées de gens "des petits et des gros" qui vont et viennent au travail "comme des ombres" "C’était les pauvres de partout"

b) Se sent-il très différent d’eux ? Justifiez en le texte.
-

Question 4 :
a) Relevez les métaphores et comparaisons employées de la ligne
5 à la ligne 12.
- il dit "qu’ils l’emmenèrent avec eux comme une ombre" comme s'ils étaient tous pareil, lui et eux, tous humains dans les grandes rues de Manhattan. Très bien ,bon argument

b) Quelle image donnent-elles de Manhattan ?
- Il parle de la raideur des immeubles comme une "forêt et si grise", il dit que la foule de gens salit ces grandes rues. grandeur = géant = ville-monstre prête à engloutir les habitants à les perdre.
TB bon devoirs :)

ATTELIER D'ECRITURE



Thème: vous embarquez sans le faire exprès, le sac à dos de votre voisin de banquette dans le train
Si on m'avait dit un jour que j'aurai eu la chance d'aller manger dans le plus grand restaurant du monde, le Big Palace, je n'y aurai jamais cru. C'était un de ces restaurants surélevés qui donnaient une vue magnifique sur les grandes villes toutes multicolores dans ce défilé de lumières rouge et jaunes. Tout a commencé quand j'ai introduit mon CV dans la société de dans laquelle je travaille. Une agence de services dans touts genres comme te patron disait... Tout se passait très bien, j'allais au travail, le matin la joie au cœur et je m'en retournai le soir avec le sourire. Les employés avaient, dans cette société, une relation avec le patron si forte que chaque jour, nous rigolions tous ensembles. Jamais il n'aurait renvoyés l'un de nous jusqu’au jour où, voulant fêter l'abolition d'un projet qui persistait depuis des mois, il nous invita à manger au Big Palace. "Nous nous donnons rendez vous vers 20 heures, devant le sacré cœur " avait-il dit. J'ai donc pris le métro, de chez moi jusqu'à ce cartier riche, dans cette ville de paris toute transformée, le voyage était très long... En effet, Paris, depuis les vieilles années 2000, était toute changée. On l'appelait la ville magnifique, car il s'y tenait toutes sortes de bâtiments. On aurait dit une de ces villes qui s'étend vers le ciel comme une fusée, montant peu à peu dans l'infiniment grand de l'espace...
L'arrêt le plus proche du sacré cœur était l'arrêt Anvers, comme la ville en Belgique, qui n’existait plus d'ailleurs. En effet, le monde sortait d'une des plus grandes guerres jamais connues. Une guerre, qui, avait permis la découverte de nombreuses inventions comme l'automobile volante ou des nouveaux minerais super-radioactifs ce qui avait transformés plusieurs pays comme la Belgique. Le métro lui aussi était changé, il volait comme les super-héros dans les dessins animés des petits enfants, tout beau et rapide comme une abeille esquivant les coquelicots et les marguerites dans les chants. On y voyait des centaines de personnes, venues de partout dans le monde, comme si elles voulaient toutes voir la ville lumière. Il y avait cette femme, dont les habits rouges et jaunes étaient typiques des continents du sud. Il y avait aussi cet homme, surement riche à la vue des habits qu'il portait, qui devait se rendre à un rendez vous important. Puis il y avait cet enfant, si jeune et si responsable, à prendre le métro à l'age qu'il avait. Et puis il y avait cette personne, toute emmitouflée dans ses vêtements d'hiver, dont on ne voyait que les mains, le visage étant caché par un bonnet, des lunettes de soleil et un bandeau... Il m’effrayait tellement que je n'osais pas le regarder. Ses mains étaient celles d'un homme qui avait surmonté les épreuves les plus dures, les mains d'un travailleur ou d'un militaire. Les gens de bas rang ne vivaient que dans les quartiers bas, il ne s'aventuraient jamais jusqu'ici, craignant d'être arrêtés par la police. Le seul homme qui était sorti de ces bas quartiers s'était accroché jusqu'au bout, car il était devenu un des grands hommes de la révolution. Personne avant et après lui n'aurait pu accompli cette prouesse. Cet homme n'était surement pas la par hasard, il devait chercher quelque chose ou quelqu'un.
A Anvers, je descendit du métro pour prendre la rue du général Van Breutchen, elles avaient étés toutes renommées par le gouvernement depuis la guerre. Je vis l’homme masqué descendre derrière moi et me suivre quelles que soient les rues que je prenne. Je me mis à courir jusqu'à ce que je le sème, puis je rejoignit Le lieu de rendez -vous, et quoique quelqu'accablant qu'ait été cet cette course poursuite, je ne fut pas bouleversé. Je pensais à mes collègues de bureau, mon patron, au restaurant. Je les vit, alors je les rejoignit, puis, nous commençâmes à nous diriger vers le "Big Palace", qui pointait vers le ciel son antenne qu'on pouvait voir briller par dessus les toits dans la nuit. A l'entrée du restaurant, des policiers surveillaient les allées et venues des gens. Ils fouillaient les sacs et confisquaient les moindres objets suspects. Quand ce fut mon tour, je leur tendit mon sac qu'ils fouillèrent et en ressortirent un poignard, deux bombes et un revolver. Ils me regardèrent avec un air étonné. Il fallait avouer que c'était stupide, c'est ce qu'on appelait se jeter dans la gueule du loup. Je me souvint alors que l'homme masqué avait le même sac que moi, et que nous nous les étions échangés sans nous en apercevoir. "C'est une erreur, j'ai du prendre le sac de quelqu'un" Alors, l'homme masqué arriva, se rapprochant lentement des policiers. "Arrêtez vous !" cria l'un d'eux. Mais à la place d'obéir, il sortit de mon sac mon téléphone portable et le leur lança dessus sans s'apercevoir que ce n'était pas la bombe qu'il cherchait... L'explosion manquant à l'appel, il comprit d'un coup et se mit à s'enfuir. Les policiers lui coururent après, puis d'autres vinrent les remplacer. Quand ils se penchèrent sur le sac, je leur dit : "ne touchez pas à ça, ce sont les affaires d'un terroriste que vos collègues sont en train de poursuivre !" Alors, ils reprirent la surveillance de l'entrée, en faisant passer les personnes autour du sac rempli d'armes. Alors nous nous installâmes, moi et mes collègues, et reprirent les discutions là ou elles en étaient. Et nous fûmes tous réunis.





Devoirs à rendre :
Aucun
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