Quasèrn de francés


Mardi 17 mars

4): 1:Le pompier déploya la grande échelle, monta puis sauta dans le bâtiment afin d’éteindre le feu.
2: Barbedrue le pirate attrapa son grand couteau et sauta sur la pintade passante, la déplumant.
3: Bertrand perdit l’équilibre sur sa planche a voile, tomba dans l'eau et réussit a remonter tant bien que mal.

5): 1: Je cherchais en vain le sommeil depuis des heures lorsqu'elle entra dans ma chambre.
2: On posa des pièges a loup fans la plaine désolé, bien que nous étions dépourvus de preuves.
3: Elle viendrais bien volontiers a la fête que tu organise.
4: Tous applaudirent Claire, qui venait de terminer son spectacle.
5: Louise offre une sculpture qui vient du Rwanda.

8a): 1: Lucien est satisfait, son équipe a remporté la victoire.
2: Le pompier fronce les sourcils, le feu progresse vers les maison.
3: Il ne voulut pas dormir pendant le voyage, il était trop mal installé.

Exercices Jean Valjean

1: Fantine croit que Javert est là pour elle mais il s’avère que Javert est là pour M.Madeleine, le maire, mais aussi reconnu maitenant comme Jean Valjean.
2: Il conte aller chercher Cosette chez les aubergistes q(u)i s'occupent d'elle et la maltraitent.
5: Javert: il est compare (é) à un fauve frénétique, a (à) quelque chose qui n’était plus humain, a (à) un rugissement.Il est aussi précisé qu'il jeta à Jean Valjean un regard si noir qu'il (lui) fit l’effet d'un crampon.
Jean Valjean: Il est vu par Javert comme un combattant mystérieux et insaisissable, un lutteur ténébreux.
6a: "Elle cacha son visage de ses deux mains et cria avec angoisse","cette figure affreuse","ce regard que Fantine avait senti pénétrer dans la moe(ë)lle de ses os".
Craindre, elle frissonna, il lui sembla que le monde s’évanouissait.
  • Lorsqu'elle apprend que M.Madeleine est en fait Jean Valjean,
    • elle fait une crise d'angoisse et meurt après que sa tête ai (t) heurte (é) violemment le chevet du lit.(ligne 63-70)

Plan, Fleur!

Dictée:

"on m'assure, dit le chat, que vous avez le don de vous changer en toute sorte d'animaux, en lion, en éléphant.
-Cela est vrai, répondit l’ogre brusquement, et pur vous le montrer, vous allez me voir devenir lion."
Le chat s'effraya de voir un lion devant lui et il gagna aussitôt les gouttières. Voyant que l’ogre quitte sa première forme, le chat descendit et avoua sa peur.
"On m'assure encore, dit le chat, que vous avez le pouvoir de vous changer en rat ou en souris.Je vous avoue que je tien cela pour impossible.
-Impossible Reprit l'ogre.Vous allez voir."

« On m’assure, dit le chat, que vous avez le don de vous changer en toutes sortes d’animaux, en lion, en éléphant.
- Cela est vrai, répondit l’ogre brusquement, et pour vous le montrer, vous allez me voir devenir lion.» Le chat s’effraya de voir un lion devant lui et il gagna aussitôt les gouttières. Voyant que l’ogre quittait sa première forme, le chat descendit et avoua sa peur. Pour en savoir plus, cliquez ici.

« On m’assure encore, dit le chat, que vous avez le pouvoir de vous changer en rat ou en souris. Je vous avoue que je tiens cela pour impossible.
- Impossible? reprit l’ogre. Vous allez voir.»

Compare, compte le nombre de fautes et reporte le sur ton plan de travail, as tu vu le travail en òc?/
Fautes: On,majuscule, toutes sortes,pluriel, pour,oubli, quittait,mauvais temps, tiens,conjugaison, oubli du point d'interrogation.

OCCITAN

1): Los vestits de Caresma son de vestits religioses, negres e blancs, a un crotz sul col e una mena de cagola relogiosa, Carnaval, el, a de vestits colorats en una mena de capèl de rei.
2):Carnaval se trufa de la religion en botan de carna dins la grèpia ont caldrià i aver Jesus.
3):Carnaval se trufa de la figura d'autonomia qu'es lo rei dins una monarquia absoluda.
4):Caresma fa tindar la clòsca per significar la fin de Carnaval e del dimars gras, e lo retorn a la "normal" amb lo periode ont los estajants devon manjar sonque peisses e legumes.

Oc, plan, mèfi dèu es lo vèrb dever per ieu....

1)Mettez les verbes entre parenthèse au conditionnel présent:
­Si j'habitais en ville, je (vendre) vendrais ma voiture et je(prendre) prendrais les transports en commun.
­Nous (vouloir) voulions savoir quand part notre train.­
S'ils avaient un garçon, ils l'(appeler) l’appelleraient Arnaud.­
Si j'étais riche, je (faire) ferais le tour du monde.­
Tu as pris du poids. Tu (devoir) devrais faire du sport.­
S'il avait le choix, il (préférer) préfèrerait partir en vacances.­
Si j'invitais vos parents, vous (venir) viendrez aussi?­
Si j'étais toi, j'(aller) irais plus souvent à la mer.­
(pouvoir) pourriez ­vous me prêter votre stylo?
­Si on allait en Alsace, on (pouvoir) pourrais faire de belles randonnées; on (boire) boirais de grands vins et on(voir) verrais de magnifiques vignobles.­
Nous (aimer) aimerions obtenir des renseignements sur les vols pour Madrid au départ de Bruxelles.
­(être) serait ­il possible d'être servi rapidement?
­S'il ne devait pas travailler, il (se lever) lèverait tard et
(regarder) regarderais la télévision toute la journée .­
Si ses parents savaient ce qu'il avait fait, ils en (mourir) mourraient.

2) Mettez les verbes entre parenthèses au conditionnel présent ou à l'imparfait­
Si je le voyais, je (pouvoir) pourrais le reconnaître.­
Si j'étais toi, j' (acheter) achèterais le nouveau CD de Sting.
Tu l'(apprécier) apprécierais beaucoup.
­(prendre) prendrez vous le train pour vous rendre dans le sud de la France ou (préférer) préférez ­vous faire le trajet en voiture?
­S'il (venir) venait, je partirais.­
Si je (connaître) connaissais son numéro, je l'appellerais.­
Si l'assassin (dire) disait la vérité, l'enquêteur bouclerait rapidement son enquête.­
Il recommencerait à travailler s'il n'(avoir) avait plus d'argent.­
(Vouloir) voulez ­vous me suivre?­
Si nous avions une voiture, nous (aller) irions à la mer tous les week­end et nous (être) serions très heureux.­
Si je savais bien écrire, je lui (envoyer) enverrais des lettres.­
S'il suivait des cours de karaté, il (savoir) saurait se défendre.­
Il (geler) gèlerait dans la maison, s'il n'y avait pas de chauffage.

3) Imaginez un dialogue entre deux ami(e)s. L'un(e) des deux a un problème (au choix:il/elle aimerait sortir avec quelqu'un mais il/elle ne sait pas comment s'y prendre, le coq du voisin fait trop de bruit le matin et il/elle ne sait pas quoi faire pour mieux dormir, ...). L'autre lui donne des conseils (tu devrais ... /à ta place, je ... / tu pourrais /...).
15 à 20 lignes.

-Je n'en peux plus, je suis épuisée.
-C'est encore ce coq qui te pose problème ?
-Oui, et c'est épuisant !
-A tu au moins déjà essayé d'en parler à son propriétaire ?A qui est il d'ailleurs ?
-A mon voisin...
-Et tu lui en a déjà parlé ?
-J'ai essayé mais il ne veut rien entendre !
-Et tes parents ?
-Je leur en ai parlé et ils ont eu aussi essayé de voir avec le voisin mais il est apparemment trop têtu pour écouter qui que ce soit !
-Essaye de t'en débarrasser...
-Et comment tu compte faire ?
-Déjà, ce seras TU, moi je donne juste des conseils, mais pour répondre à ta question, il y a bien l'option de la muselière...
-Une muselière pour poulet ?Ça existe ?
-Puisque je te le dis.
-Tu as vérifié ?
-Non, je n'en sais rien si ça existe ou non mais ça reste une option comme une autre...
-Mmh...Ce n'est pas négligeable, il faut juste au moins chercher...

Exercices Jean Valjean

1): Eponine et Azelma sont très surement les filles de la thénardier, comme on nue le laisse penser avec le fait qu'elles soient mieux traitées et comme on nous le confirme avec la troisième ligne, ou elles sont appelées "les petites thénardier".
2): Vertigineux, le cœur serré, l'esprit voit trouble, insaisissable, l'angoisse, hideux, ténèbres, sinistre, énormité noire, terreur, terrible, frisson, effraye, la glaçait jusqu'au fond du cœur.
Cette partie du texte semble ne plus faire partie du récit sur Cosette, mais raconter quelque chose de bien plus généralisé, qui touche tous les humains et qui est la peur.
Le narrateur donne l'impression que ce sujet est très clair pour lui, comme s'il y avait réfléchi a plusieurs fois avant de raconter cette partie du conte.
3): Au début, Cosette cour jusqu'au point d'eau, puis une fois le seau rempli elle se met a compter.J'aurais aussi couru au début, mais par la suite, je me serais parlé a moi même plutôt que de compter.
4): Elle illustre l'idée que l'esprit ressent ce que l’œil voit, comme si les images observés par les yeux laissaient une impression, une ambiance dans notre esprit.
5): C'est une façon insultante d'appeler Cosette, qui la rabaisse à un état inhumain, animal, et qui considère qu'elle n'a pas de nom.

Évaluation Les misérables de Victor Hugo

1 . Quels sont les différents noms que prend J Valjean au cours des différents textes ? A votre avis pourquoi ?
Il commence avec son vrai nom, Jean Valjean, puis prend le nom de M.Madeleine pour recommencer une nouvelle vie, avec donc une nouvelle identité qui vise à l'éloigner de ses méfaits commis dans le passé.

2. Qui est Javert ?
Javert est un policier exerçant dans la ville ou M.Madelaine s'est vu être élu maire, et qu'il soupçonne fortement d’être Jean Valjean, ayant par le passé exercé dans la prison ou M.Madeleine (Jean Valjean) était détenu.

3. Quel lien unit Fantine et Cosette ?
Fantine est la mère de Cosette.

4. Par qui Cosette est-elle élevée ?
Par des aubergistes à qui elle a été confiée quand sa mère du aller à l’hôpital.

5. Comment qualifieriez-vous l’enfance de Cosette ? Justifiez votre réponse.
Cosette se fait maltraiter par les aubergistes chez qui elle vit, elle est traitée comme une bonne et fait toutes les taches ménagères.

6. Quand Jean Valjean rencontre Cosette dans la forêt, quel geste fait-il ?
Il lui prend le seau plein d'eau qu'elle porte et l'aide à le transporter.

7. Quelle type de relation se noue entre Cosette et Jean Valjean ?
Une amitié, une relation de confiance et plus tard une relation père fille (adoptifs).

8. Que vole Jean Valjean à Monseigneur Myriel ?
Jean Valjean lui vole des couverts en argent.

9. Comment réagit Monseigneur Myriel lorsque Jean Valjean est ramené par des gendarmes ?
Il joue le jeux, accueille Jean Valjean les bras ouverts et le pousse à repartir avec des chandeliers en plus des couverts.

10 . De qui les Thénardier sont-ils les parents?
De deux petites filles, Eponine et Azelma.

11 . Selon vous, pourquoi Victor Hugo a-t-il donné ce titre à son roman ?
Car le livre est centré sur l'histoire de miséreux, dont Jean Valjean et Cosette font parti et qui illustrent les inégalités très présentent à l'époque de Victor Hugo.

Occitan projecte jornalet radio

Soi aqui, uei, per vos contar una istorieta. Es la, segurament pas conneguda, de Marguerite la margarida que tenia a vos contar sa vision del confinament. Li balham la paraula.
-Ai una vision plan positiva d'aqueles estranh moments per vosautres. Maugrat, en efèit, los calques umans que sortigueron "prene lo dardalh del solelh", i a pas gaire de monde dins las carrièras e lo barri ont demori es totalament vid. Los enfants son pas mai aqui per nos pietinar, e ieu aital que los meus compaires, sem pla content de pas mai se far arrancar. La mèu vesina dempuèi ara plan tres meses, Calypso lo pissaliech es del mèu avis e pensi que totas las plantas, al mens totas las floras, pensaran parièr :vos assuri que s'etz plan aqui, en confinament, remenbras vos los matin ont tre cinq oras las veituras son ja dins las carrieras, ont a ueit oras, los enfants partisson a l'escola e nos cueillisson per de que sem bellas ! Oc, soi d'accordi, sem bellas, mas pensi pas que i a aqui una rason per nos tuar. vos assuri qu'es mai risolhièr de jogar a la petanca amb rocas que de comptar las nautras petallas. Oc, lo torni dire mas nosautras, sem pla mièlhs ara.

Fiche lecture français

La voleuse de livres
(2005) Markus Zusak

Makus Zusak est un écrivain et enseignant d'anglais à l'université australien d'origine autrichienne et allemande né le 23 juin 1975.
Il publie en 1999 son premier livre et le premier livre d'une trilogie The underdog , un succès en Australie et qui fut traduit en plusieurs langues et publié en Europe et en Amérique. En 2000 parait Le combat des frères (deuxiéme tome de la série The underdog ) qui reçoit plusieurs pris en Australie, Amérique et Europe. En 2001, l'auteur reçoit encore un grand succès et deux pris pour When dogs cry , troisième et dernier tome de sa trilogie. En 2002 The messenger est publié et reçoit deux pris. La voleuse de livres, publié en 2005 en Australie, en 2006 en Amérique, ou il reste sur les listes des meilleurs ventes depuis son lancement, et en 2007 en France est adapté en film en 2013 par Brian Percival. Son dernier livre est parut en 2018, The bridge of clay.
Personnages principaux :
Liesel Meminger, allemande orpheline adoptée par un couple, Rosa et Hans Hubermann, héroïne du livre, une enfant d'une dizaine d'années (neuf au début de livre mais elle grandit au fur et à mesure). Elle a les cheveux mis longs, châtains et les yeux bleus. Elle est plutôt froide, à la fois obéissante et rebelle.
Rosa Hubermann est la mère adoptive de Liesel, et la femme de Hans Hubermann. Elle est carrée, petite et un peut ronde, très stricte est dure, elle réussit à être parfois plus douce et s'adapte facilement. Elle a eu deux enfants biologiques avec Hans, mais dont on ne parle pas. Elle meurt dans un bombardement.
Hans Hubermann, père adoptif de Liesel, a les yeux argentés, comme ses cheveux, est grand et réellement compréhensif, attentif et doux. Il devient rapidement un repère et une grande aide pour Liesel. Il meurt dans le même bombardement que sa femme.
Rudy Steiner est un enfant, de huit mois l'ainé de Liesel, blond aux yeux bleus, passionné par la course et jesse owens, issu d'une famille nombreuse et pauvre. Il est plutôt bon à l'école, espiègle et devient le meilleur amis de Liesel (et par la suite il en tombe amoureux). Il meurt dans le même bombardement que les parents de Liesel, et toute sa famille avec, sauf son père.
  • Frau Hermann est la femme du maire. Liesel la rencontra en aidant sa mère a travailler, en allant chercher le linge chez les familles riches de Molching (la ville ou l'histoire a lieu). Frau Hermann prête, offre et se laisse voler des livres par liesel. Elles deviennent plus ou moins amies et elle accueille Liesel après le bombardement.
Max Vandenbourg est un boxeur juif, fils d'un ami de guerre mort de Hans à qui il avait fait la promesse d'aider à tout jamais sa famille. Il a les cheveux comme des plumes, puis comme des brindilles quand il part au camp, et les yeux mouillés. Les Hubermann l'accueillent (le cachent) dans le sous sol jusqu'à ce qu'il doive partir et se fasse attraper par les nazis et emmener dans un camp de concentration. Il n'y meurt pas et retrouve Liesel à la fin du livre. Il avait une relation très proche avec elle, fusionnelle, fraternelle et il lui offrit à plusieurs reprises des livres qu'il écrit.

Ayant une mère communiste sous le règne nazi et vivant à la rue, Liesel Meminger et son frère sont en danger. Leur mère les envois alors en famille d'accueil. Dans le train les menant à Molching, Liesel assiste à la mort de son frère après une quinte de toux, pendant le sommeil de sa mère. Durant l'enterrement de son frère, Liesel trouve un livre tombé de la poche d'un apprenti fossoyeur et le ramasse. Elle ne sait pas encore lire mais accorde une valeur sentimentale à ce premier livre volé. Plus tard, sa mère lui fera ses adieux sur un quai de Munich, laissant la fillette avec les autorités chargés de l'amener dans sa famille d'accueil, à Molching. Accueillie rue Himmel, Liesel commence alors à apprendre à lire grâce à Hans, ainsi que l'école ou elle fréquente d'autres enfants, comme Rudy, voisin chargé de l'accompagner à l'école qui deviendra rapidement son meilleur ami. Une nuit parmi tant d'autre ou elle se réveille de cauchemars, Liesel surprend Hans et un autre homme dans la cuisine, mais se cache. Elle apprendra le lendemain qu'il s'agit d'un boxeur juif à qui Hans était lié par une promesse. A partir de ce jour, le dénommé Max restera plus de deux ans dans la cave des Hubermann, sympathisant chaque jours un peut plus avec Liesel. Après avoir donné du pain à des juifs en chemin pour un camp de concentration, Hans est fouetté publiquement et menacé par le parti nazi. Après un commun accord, Max décide de partir, Hans et lui jugeant trop risqué sa présence, particulièrement avec la crainte que le parti nazi leur rende visite. Max se dirige alors vers Munich, ou il est arrêté et emmené dans un camp de concentration. Pendant ce temps, Hans est appelé dans la LSE, régiment chargé de la sécurité des civils pendant les bombardements. Il reviendra bientôt grâce a une permission et subira alors avec sa femme et Liesel les premiers bombardements sur Molching. C'est pourtant seulement au bout du troisième, seul bombardement ou l'on n'avait pas donné l'alarme, survenu pendant la nuit, que lui et Rosa, ainsi que tous les Steiner, à l'exeption d'Alex, encore à la guerre, perdirent la vie, laissant alors Liesel seule pendant plusieurs mois, jusqu'à la fin de la guerre ou elle retrouvera Max.
Ce livre m'a beaucoup plu, je pense grâce a la narratrice de cette histoire, la mort, ainsi que la place accordé aux couleurs, au ciel. Il (le livre) est parsemé d'éclipses temporelles à la fois révélatrices et très secrètes, et de la première à la dernière page, on ne nous cache rien, aucun suspens, mais on a quand même la délectation de tout découvrir tout au long du récit. Aussi, les titres son très révélateurs, et trompeurs à la fois, on peut alors s'attendre à quelque chose et ce retrouver finalement à lire tout le contraire. Tous les personnages, malgré leur grand nombre et leur niveau d'importance très variable, nous "hantent" et si on peut évidement oublier un personnage sur une durée indéfinie, dés qu'on parle de lui un flot de pensées et de souvenirs vous assaille, tous en rapport avec le dit personnage. Ce livre aura aussi été pour moi très émouvant et touchant, alors attention à la dépression de soirée (ou plus !) qui suit.

Les fenêtres questions

1): Qu'aperçoit l'auteur depuis sa fenêtre ?
L'auteur, de sa fenêtre, aperçoit une multitude de toits. Il observe une femme mure, ridée et pauvre, toujours, décrit-il, penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais.

2): A votre avis à quel moment de la journée la scène se produit-elle ?
Surement le soir, car il écrit que ce que l'on voit au soleil est toujours moins intéressant que ce qui ce passe derrière une vitre. Il parle aussi d'une fenêtre éclairée d'une chandelle, scène décrite comme éblouissante.

3): la "légende" de cette femme que se construit l'auteur vous inspire quel sentiment ?
De la tristesse, de l'injustice, car bien que cette dite légende soit probablement fausse, bien que l'on ne la connaisse pas, je pense qu'il est peut plausible qu'elle soit heureuse étant donné de la description de la femme et le fait qu'il écrive lui même être touché par cette histoire au point de pleurer.

4): comment expliquez vous que cette réalité placée hors de lui ait put l'aider à vivre ?
Il se peut que la légende de cette femme, histoire créée de toutes pièces, qui émeut tant son propre inventeur, puisse lui apporter un semblant de réconfort. Peut être l'a t-elle emmenée, à force de réfléchir au sujet de cette femme dont il ne connait rien, à réfléchir sur lui même, à se questionner plus en profondeur sur ce qu'il est, ce qu'il peut être.
Il y a aussi la possibilité que cette légende, émouvant l'auteur aux larmes, puisse lui amener une forme de bonne conscience car lui même écrit qu'il est fière d'avoir vécu et souffert dans d'autres que lui même. On peut alors penser que cette histoire qui lui apporte, comme il le dit, de la fierté, lui permette de se sentir sensible, compatissant. On peut aussi penser que le fait de se raconter, à lui seul, cette vie inventée, puisse créer une sorte de lien secret, invisible, entre lui et cette femme inconnue qui elle même ignore être la cause de tant de sentiments.

Exercices utopie

1): comment créer une ville utopique, et est-ce possible selon vous ?
Je pense qu'il faudrait déjà, pour que cette ville utopique convienne a/à tous, prendre connaissance des idées utopique des autres, car une ville se présente pour moi comme une idée issue du collectif. Une ville utopique pour quelqu'un peut ne pas tout à fait correspondre aux attentes ou envies d'un(e) autre. Je ne pense pas qu'une utopie soit totalement réalisable, mais on peut au moins essayer de s'en rapprocher, et peut être même de l'effleurer.

2): Aimeriez vous vivre en Utopie ? Pour quelles raisons ?
Évidement, si c'est une utopie qui me convient, j'aimerais y vivre, tout simplement par ce que le principe même de l'utopie, à mon avis, est de plaire, de donner envie et d’être toujours mieux que ce que l'on a.

3): En quoi ce monde est-il différent du notre ?
Je pense que justement, une utopie est comme une copie de notre monde, en mieux, plus avantageux, plus facile à vivre, globalement plus heureux. Très bien !

Une utopie serai pour moi un monde ou, évidement, les guerres que ce soit civils, guerres de frontières, de territoire, de religion, d'un pays à un autre, soient juste inexistante. Un monde ou dans chaque pays, la liberté d'expression de tous soit respectée, ou/où les religions ne soit pas sujet à discrimination, comme l'homosexualité, la transsexualité, les plausibles différences de richesse, un monde ou/où tous seraient égaux devant la loi comme devant l’institution, et ou/où les folies des hommes seraient gérées.
Le sexisme et les violences conjugales n'auraient jamais existé, les femmes auraient toujours été égal aux hommes, dans la rue comme dans le milieu du travail, la famine et les inégalités financières seraient inexistantes, ou alors peut être très faibles.
Les différentes origines ou couleurs de peau ne seraient, comme la pilosité, pas sujet à commentaires, les humains s'aimeraient et aimeraient qui ils veulent, la question de la légalité de l'avortement ne se poserait même pas et la terre, les animaux, la mer et le ciel seraient respecté et il y aurait une possible cohabitation avec dans les villeS. Les villes, justement, seraient un véritable collectif, un lieu rassurant ou le respect assurerait une protection. Elles seraient propres, et leur ancienne architecture aurait perduré, mais laisserait quand même lieu a des installations permettant le transport facilement, rapidement, dans le respect de environnement et du collectif (par exemple, pas de bruit). L'espace de chacun (maisons, appartements...) correspondrait à des normes, identiques à tout les pays, ce qui laisserait alors un espace suffisant, tous auraient un jardin ou une terrasse, et un accès libre aux meubles et décorations. Les difficultés scolaires et ménagères seraient géraient par des professionnels, et des structureS seraient disponibles gratuitement aux personnes handicapés mentales ou moteurs, ainsi que toutes personnes âgés dans l’incapacité de s'occuper d'eux mêmes. Les métiers seraient exercés par passion, et non par obligation, car la question de l'argent ne se poserait pas. Toutes les formes d'art seraient accessibles, et on donnerait le chois/choix, dés le plus jeune age, de quelle activité exercer (activités non obligatoires). L’accès à la culture serait plus simple et plus développé, l'accès à l'espace, aux planètes et différentes galaxies serait possible grâce a des télescopes disposés dans des lieux publics, et la science et la recherche seraient plus développés, sans laisser de place à un quelconque abus.
Très bien ! Tu as de bonnes idées ! Merci pour ce devoir.

Devoirs à faire :
http://leon-cordas.org/wakka.php?wiki=PagFr/download&file=S_Roman_policier_txt_1.pdf
http://leon-cordas.org/wakka.php?wiki=PagFr/download&file=Exercices_Phrase_Verbale_et_non_verbale.pdf
http://leon-cordas.org/wakka.php?wiki=PagFr/download&file=Conjugaison___le_subjonctif_1.pdf

Exercices roman policier

1 : Quel est le cadre spatio-temporel de la scène ?
Presque vingt-trois heures, sur la place Maubert, dans Paris (ligne 2)

2 : Que sait-on sur le personnage principal ?
C'est un homme, sans abris et vendant des éponges pour subvenir à ses besoins, dans la seule compagnie de son chariot de supermarché.

3 : Qui est Martin ?
Martin est le nom donné à son cadis par le personnage principal.

4 : A quel milieu social semble appartenir la femme ? Justifiez en citant le texte.
Surement à un milieu riche, ou au moins un minimum haut placé dans la société, comme il est dit dans le texte. Il est dit qu'elle a un manteau blanc en fourrure, qu'elle n'est certainement pas une femme à entrer dans le pourcentage.

5 : a) Il veut dire qu'étant donné que la femme l'a ignorer, ou peut être pas remarquer, il n'y a aucune raison pour lui de témoigner "en sa faveur". Il dit ne pas l'avoir vu en insistant sur le fait que la femme l'a ignoré, voir méprisé, comme le dit la phrase "Elle a fait le tour de moi comme d'un tas de guenilles".
b) Je pense que dans ce cas ci, ce serait plutôt une intervention professionnelle qui serait "réclamé". A mon avis il y a deux possibilités: soit le policier s’énerve, soit il se montre compréhensif.

Exercices voyage au bout de la nuit

Question 1: Selon Bardamu, la particularité de New York est que la ville se tient droite, raide à faire peur, avec de trop nombreuses fenêtres, de trop nombreux passants.
b): New York, ville en hauteur très bien

Question 2: Bardamu voit cette ville comme une muraille, et vertigineuse car raide, toute en hauteur. Il dit éprouver une sorte de vertige a l'envers, à cause des trop nombreuses fenêtres de New York, à tel point que c'en est écœurant. Champ lexical du dégout, du malaise, avec écœurant, vertige. Très bien ! champ lexical péjoratif

Question 3: Il décrit les habitants comme petits, gros, comme une ombre unanime, la tête basse, "les pauvres de partout".
b): Je ne pense pas, car il est aussi pauvre, et "précairement vêtu"."Ils m’emmenèrent avec eux", "Ils remontaient comme moi". ok

Question 4: Il dit que la ville est absolument raide, debout, droite. Bardamu dit aussi que les villes de "chez nous" sont couchées, s'allongeant sur le paysage, attendant le voyageur, alors que New York est, quand à elle, "pas baisante du tout, raide à faire peur"."On en a donc rigolé comme des cornichons".
b): Ces métaphores et comparaisons donnent l'image d'une ville inquiétante, haute, stricte et droite, raide au possible, angoissante C'est parfait : la ville devient un monstre.

DU 25 MAI AU 4 JUIN : http://leon-cordas.org/wakka.php?wiki=PagFr/download&file=Atelier_ecriture_1.pdf
Choisir un seul sujet sujet
Il n'y a pas de commentaire sur cette page. [Afficher commentaires/formulaire]