- Le temps était comme figé,
- Je me levais et j’étais déjà fatigué
- Je prenais mon café quand le soleil se couchait
- C’était un jour pas comme les autres,
- J’avalais mon dîner dès que j’étais réveillé,
- C’est sûr, les aiguilles des horloges étaient coincées - Matèu
- Le temps s’était arrêté tout semblait vide et mort.
- La pièce était comme plongée dans le noir...
- C’est à ce moment la que je compris,il était encore là !!
- Je tentais de décoincer les aiguilles mais en vain.
- Puis je vis cette porte mais elle était fermée aussi.
- Comment faire, je ne devais absolument pas faire de bruit sinon il allait se réveiller - Tristan
- Mais qui allait se réveiller, qui ou plutôt quoi.
- Au moment où je songeais à fermer cette porte.
- Elle s'ouvrit, en voyant sortir de cette salle un être.
- De taille plutôt normale, mais avec un regard intéressé.
- J'observe cette chose avec attention et avec cette observation.
- Je remarquais qu’il m'était bien ressemblant, cela se nomme un frère. - Gabriel
- Je marchais tranquillement entre les fleurs fanées, il me suivait toujours.
- Alors je décida d’accélérer le pas, ce qu’il fit aussi.
- Dans mes bras j’avais toujours la pomme qu’il avait essayé de me prendre.
- Je ne sais pas pourquoi il faisait ça, et qui il était.
- D’un coup, je l’entendis crier, le bruit était très sourd.
- Je me retournai et j’aperçus une créature affreuse lui sautait dessus. - Antoine
- J’empechais la créature de le devorer-enzo
- Mais il était trop tard je courus pour m’échapper lorsque
- Mon corps s'arrêta, bloqué dans le mouvement de ma marche.
- J’avais soudainement perdu le contrôle de mes membres.
- J'aperçus une lumière quand mon crâne fut transpercé de douleur .
- Je m’effondrai sur le carrelage froid telle une poupée disloquée.
- Trois formes noires m’enveloppèrent et dans un cri, je m'évanouis - Agathe
- A mon réveil ,je ne me souviens seulement d'une main.Une main froide,longue...
- Cette main se posa sur mon épaule.
- Elle était de plus en plus proche...
- Quand les trois ombres révelèrent leurs visages-Niaouli